Aimé Césaire fut le premier Président du Conseil Régional en 1983. En décembre 2015, la Martinique devient une région à part entière avec la création d'une nouvelle collectivité. Aujourd’hui, avec son président Alfred MARIE-JEANNE, la mission de la CTM est de régler par ses délibérations, les affaires de la région en matière d’éducation, d’environnement, de formation et d’apprentissage, de développement économique, social, culturel, scientifique et d’aménagement du territoire. Son engagement & son soutien pour la promotion et le développement d’évènements sportifs est nécessaire pour garantir une excellente reconnaissance des autres organisations sportives d’autres pays.
Installé en décembre 2003, le CMT est un Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial ayant pour mission de faire de la Martinique une destination touristique recherchée et prospère. Créé le 9 juillet 2003 par les collectivités régionale et départementale de la Martinique, le Comité Martiniquais du Tourisme (Établissement Public Industriel et Commercial), est l’outil institutionnel chargé du développement touristique de la Martinique. Il est l’acteur principal pour toutes les questions de développement et de promotion touristique de la Martinique.
Le CMT a pour ambition de : Redynamiser la destination, de faire de la Martinique une destination phare, d’élever le niveau de qualité des prestations au regard des destinations concurrentes, et d’impacter de manière significative l’économie locale pour mettre en œuvre une dynamique vertueuse.
La FFVoile a pour objet d’encourager, de promouvoir, de développer, d’animer, d’enseigner, d’encadrer, d’organiser, et de contrôler dans la limite de ses prérogatives le sport de la voile sous toutes ses formes de pratique, que celles-ci soient à visée de compétition, de loisir, de pratique éducative et sociale ou d’intérêt touristique2.
Elle regroupe l'ensemble des associations sportives affiliées mais également des associations nationales , des organismes à but lucratif dont l’objectif est la pratique d'une ou plusieurs disciplines de la voile dont certains d’importance nationale (club de vacance) ou encore des membres associés qui contribuent au développement de la voile.
La ligue de voile de Martinique, organe décentralisé de la Fédération Française de Voile à pour but le développement de la voile sous toutes ses formes à la Martinique. A ce titre elle représente l'organisation nationale de la voile sur notre territoire.
Le ligue de voile de Martinique regroupe actuellement une dizaine de clubs avec des pratiques nautiques allant de l'optimist au Kit-surf. Elle compte à ce jour un millier de licenciés. La pratique de ces clubs se situe sur l'ensemble du littoral de l'ile, hormis les zones situées sur la façade nord-atlantique. Il est possible de suivre nos activités sur les réseaux sociaux via : notre site internet ou notre Facebook
Aujourd'hui, avec 24257 habitants (recensement de janvier 2010) et ses 4 730 ha, la ville du Robert représente l'une des plus grandes villes de la côte Est et de La Communauté d'Agglomération du Pays Nord. Situé à la porte du périmètre communautaire, proche de la deuxième ville de l'île, le Robert a toujours été animé d'une grande ambition. La baie est dotée d'une dizaine d'ilets (Petit Vincent, Petite Martinique, à Eau, aux Rats, Chancel, Petit Piton, Boisseau, Madame, De la Grotte, Loup Garou). Ces îles offrent des vues, des plages et des vestiges remarquables. Il est possible de faire de splendide marche à la forêt de Bois de Pothaux qui s'étale sur 268 hectares, sillonnés de traces. On y retrouve la mangrove et la petite plage de sable fin de l a Pointe Banane qui offre un panorama splendide sur la Presqu’île de la Caravelle. La plage de la Pointe Larose est très prisée des connaisseurs.
Situé dans une baie propice au mouillage des navires, le territoire du Marin est constitué d'une série de mornes peu élevés. Attestée, sous le nom de Cul-de-sac de Saint-Étienne du Marin, par le dénombrement de 1664 ordonné par Colbert, l'occupation européenne du site est l'une des plus précoces de l'île. Dès 1728, le quartier de Sainte-Anne est détaché de celui du Marin. Le port fréquenté par des navires marchands, est pourvu, en 1731, d'une lieutenance royale.
L'activité principale des Marinois devient le commerce. De par la présence de la batterie de la Pointe-Borgnesse, le Marin est le théâtre de nombreux affrontements entre Français et Anglais, du XVII au XIX siècle. Erigé en commune en 1839, Le Marin se développe, grâce à l'implantation d'un artisanat du travail du bois et par la création, en 1869, d'une usine sucrière, qui draine rapidement une part importante de la main-d'oeuvre régionale. Le bourg est entièrement détruit par les cyclones de 1891 et de 1903. La fermeture de l'usine, en 1969, provoque une grave crise dans l'économie de la commune, qui emprunte dès lors de nouvelles voies d'expansion, facilitées, en 1974, par son accès au rang de sous-préfecture.
Aujourdh'ui le Marin, avec son Port de Plaisance, son Port de Pêche et de Commerce en perpétuelle modernisation, son Centre de Carénage qui bientôt recevra d’importantes infrastructures permettant de caréner des bateaux jusqu’à 440 tonnes, est devenu le deuxième port maritime de la Martinique après Fort-de-France.